Silence, on finit son jeu...

samedi 10 janvier 2015

J'ai fini Bravely Default, à mon second essai. Je l'avais acheté à sa sortie l'an dernier, mais j'avais été découragé par l'histoire qui, lorsque l'on s'approche de la fin du jeu, se répète...et se répète...et se répète... j'ai pas envie de tout spoiler, mais on se retrouve à devoir refaire la même chose un grand nombre de fois, et quand on s'attaque au jeu bille en tête c'est décourageant.


Par contre, quand on sait préalablement que la fin de l'histoire va être répétitive, je trouve qu'on apprécie beaucoup plus tout le reste - en particulier le système de combat qui est quand même fignolé au quart de poil, et les défis de fin de partie qui sont de jolis challenges obligeant à bien réfléchir à la stratégie à mettre en oeuvre et à explorer des jobs que l'on n'a pas l'habitude d'utiliser. En prime, et c'est assez paradoxal, toutes les quêtes secondaires des porteurs d'astérisques deviennent progressivement de plus en plus légères et amusantes, alors même qu'elles sont de plus en plus difficiles. Le combat final est assez original et sa musique envoie du bois, mais comme dans tout (pseudo-) Final Fantasy qui se respecte, si on a saigné les quêtes secondaires et qu'on a une stratégie solide, alors il paraît presque reposant.


Bref, je conseille avant de se lancer dedans de prendre conscience du fait qu'à un moment, l'histoire patine dans la semoule. Si on ne le sait pas, la déception peut être grande, mais si on le sait, on peut passer d'autant plus de temps à mettre en place la stratégie ultime, ce qui peut être très satisfaisant vu le nombre invraisemblable d'options stratégiques (car il n'y a aucun "job inutile" que tout le monde va laisser de côté, et comme on a 4 personnages avec chacun accès à 24 jobs + 24 compétences de soutien tirées d'un second job, ça fait, si je compte bien, 110 millions de combinaisons).





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